"The Starlite Campbell Band never ceases to make us plunge into blues, rock and prog. from the 60s and 70s stamped with the seal of an old-fashioned British sound with big riffs, completely mind-blowing arrangements and this analog side… There is no doubt that fans of both vintage and very open music will appreciate this great discovery as soon as this new combo rocket is fired in November! "| Fred Delforge, Editor and President of Blues France | Le Zicazine
Ils avaient eu chacun de leur côté une carrière musicale avec différents groupes avant de se rencontrer en 2012 et de finalement s’unir à la ville comme à la scène lorsque Simon Campbell et Suzy Starlite formeront le Starlite Campbell Band en 2016. Songwriters renommés, les deux musiciens ont à leur crédit nombre de morceaux et c’est partagés entre leur Angleterre natale et le Portugal qui les a adoptés qu’ils reviennent cette année avec un nouvel album, le second du groupe, pour lequel ils ont poussé encore plus loin la diversité de leur influences, regardant ouvertement du côté du British blues mais aussi du rock sous toutes ses coutures pour un résultat on ne peut plus élargi.
Accompagnés de Steve Gibson à la batterie, Jonny Henderson et Gabriele Del Vecchio aux orgues, claviers et pianos et Maria Saalfeld Reis aux castagnettes, les deux multi-instrumentistes unissent une fois encore leurs voix et se dirigent directement vers l’originalité en faisant appel à des séquenceurs, mellotrons et autre thérémines afin de créer des sons uniques pour lesquels le piano est très largement mis à l’honneur, quand bien même les guitares occupent en règle générale une place de choix.
Quelque part entre Fleetwood Mac, Deep Purple et Led Zeppelin avec des accents qui peuvent par moments faire penser à Queen ou encore à Pink Floyd, le Starlite Campbell Band n’en finit plus de nous faire plonger dans le blues, le rock et le prog des années 60 et 70 avec des titre comme « Distant Land », « Bad Sign », « Said So », « Stone Cold Crazy » ou encore « Ride On Cowboy » qui font directement entrer « The Language Of Curiosity » dans une catégorie d’ouvrages estampillés du sceau d’un British sound à l’ancienne avec des gros riffs, des arrangements complètement hallucinants et ce côté analogique qui n’est pas pour nous déplaire.
Nul doute que les adeptes de ces musiques à la fois vintage et très ouvertes apprécieront cette belle découverte dès la mise à feu de cette nouvelle fusée du combo en novembre !
Fred Delforge, Editor & President of Blues France - Le Zicazine